Fig. 13 - Le peintre de Lascaux. a : tableau de Z. Burian ; timbre cubain dérivé
Ses œuvres sont présentées au National Museum (Prague) et à l’Anthropos Museum de Brno, ainsi que dans de nombreux livres.
Son tableau représentant Cro-Magnon est très réaliste : voici un homme hirsute, barbu et velu, portant un collier de canines de félins, le même faisan mais avec un bec non hypertrophié et de fines sagaies et non des flèches. On aperçoit des cabanes dans le lointain. Tout au plus peut-on critiquer le caractère très rustique du personnage et la présence inattendue de ce faisan : notre faisan de Colchide (Géorgie) ou Phasianus colchicus, ici représenté, originaire d’Asie et cité par Pline, ne semble pas attesté en Europe au Paléolithique.
D’innombrables tableaux, statues et dessins représentent Cro-Magnon ou, du moins, Homo sapiens en action (52). Retenons simplement un autre timbre cubain de 1967 montrant le peintre de Lascaux et ses aides, intitulé cette fois Hombre de Cro-Magnon (fig. 13 a et b). Accompagné du crâne d’un Homo sapiens non identifié, il est inspiré également par un beau dessin monochrome de Z. Burian.
Il autorise quatre remarques :
1 - Les personnages sont vêtus de loques de peaux animales comme il est trop habituel, alors que perçoirs de silex, poinçons d’os et aiguilles à chas sont connus à cette époque ;
2 - Le panneau en cours d’exécution est celui de « la Vache qui saute » du Diverticule axial de Lascaux, mais il est ici trop bas situé, au-dessus d’un talus imaginé, et, dans la réalité, il ne pouvait être atteint que grâce à un échafaudage ;
3 - Les traces du foyer représenté ici au sol n’ont jamais été découvertes ; 4 -Le cadre de la scène est fait de signes qui ne sont en fait que la reproduction, à une dizaine d’exemplaires, des traits d’une femme stylisée, gravée sur une défense de mammouth de Predmostì.
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(Tchéquie), datant du Pavlovien (Gravettien de Moravie, entre 27 000 et 24 500 ans)(52).
Ces images et ces anecdotes montrent combien il est difficile de reconstituer fidèlement l’histoire d’une trouvaille comme celle, exceptionnelle, de Cro-Magnon et de rendre compte des découvertes des préhistoriens, sans se laisser aller à des interprétations aventurées.
E. B (54) et G. D (55).
Choix bibliographique (56)
- Bouchud J., 1966. « Remarques sur les fouilles de L. Lartet à l’abri de Cro-Magnon », Soc. d’études et de recherches et Institut de Préhistoire et d’art préhistoriques des Eyzies, n° 15, p. 28-36.
- Broca P., 1868. « Sur les crânes et les ossements des Eyzies », Bull. de la Soc. d’Anthropologie de Paris, 2e s., t. 3, p. 350-392 (présentation du 21 mai). Discussion par Pruner-Bey, Bertillon, Lagneau et Broca, p. 416-432, 432-446, 454-510, 554-574. Voir aussi AFAS, Bordeaux, 1872, p.1232-1237.
- Broca P., 1869. « On the human skulls and bones found in the cave of Cro-Magnon, near Les Eyzies », Reliquiae Aquitanicae…, IX, p. 97-122.
- Breuil H., 1960. « Ma vie en Périgord », Bull. de la Soc. hist. et arch. du Périgord, LXXXVII, p. 114-131.
- Dastugue J., 1967. Pathologie des hommes fossiles de l’abri de Cro-Magnon, L’Anthropologie, 71, 4, p. 479-492 (plaie frontale de la femme, p. 490).
- Dastugue J., 1968. « Pathologie de quelques squelettes du Paléolithique supérieur. L’Homme de Cro-Magnon », in : l’Homme de Cro-Magnon. Anthropologie et archéologie, p.121-126, Arts et métiers graphiques, Paris.
- Delluc B. et G., 1981 : La grotte ornée de Comarque à Sireuil (Dordogne), Gallia-Préhistoire, 24, fasc. 1, 1-97, 56 fig. (avec la collaboration de J. Chaline, J. Evin, B. Galinat, Arl. Leroi-Gourhan, C. Mourer-Chauviré, T. Poulain et F. Schweingruber.
- Delluc B. et G., 1984. « Abri de Cro-Magnon, Les Eyzies (Dordogne) », in : Collectif, Art et civilisations des chasseurs de la Préhistoire, p.72-75, Laboratoire du Musée de l’Homme et MAN de Saint-Germain-en-Laye.
- Delluc B.et G., 1989. « L’âge du Renne, du Mammouth… de Lartet et Christy », Le Temps de la Préhistoire, t. 1, Société préhistorique française et édit. Archeologia, p.16-17.
- Delluc B. et G., 1990 : « À propos de la statue dite de Cro Magnon aux Eyzies, Bull. de la Soc. hist. et arch. du Périgord, 117, p. 233-236, 2 pl.
- Delluc G., 1995 : La Nutrition préhistorique avec la collaboration de B. Delluc et M. Roques, Editions Pilote 24, Périgueux, 224 p., ill. et tabl. Préface de H. de Lumley
- Delluc B. et G., 2001. « Pas de chemin de fer pour Cro-Magnon », Bull. de la Soc. hist. et arch. du Périgord, CXXVIII, p. 207-218.
- Delluc B. et G., 2008. « Pas de chemin de fer pour Cro-Magnon », in : Petites énigmes et grands mystères. Périgord., tome 2, Pilote 24 édition, Périgueux, p. 27-40, ill.
- Delluc B. et G., 2013 : Les squelettes de l’abri de Cro-Magnon. Datation et pathologie. Evolution des idées, Bull. de la Soc. hist. et arch. du Périgord, CXL, p.243-274, 11 fig., 3 sections.
- Girod P. et Massénat É., 1900. Les stations de l’Âge du Renne dans les vallées de la Vézère et de la Corrèze, Baillière, Paris.
- Henry-Gambier D., 2002 a. « Les fossiles de Cro-Magnon (Les Eyzies-de-Tayac, Dordogne). Nouvelles données sur leur position chronologique et leur attribution culturelle », Paléo., 14, p. 201-204.
- Henry-Gambier, D., 2002 b. « Les fossiles de Cro-Magnon (Les Eyzies-de-Tayac, Dordogne). Nouvelles données sur leur position chronologique et leur attribution culturelle », Bulletins et Mémoires de la Société d’Anthropologie de Paris, t. 14, fasc. 1-2, pp. 89-112.
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- Henry-Gambier D., Nespoulet R. et Chiotti L., 2013 : Attribution culturelle au Gravettien ancien des fossiles humains de l’abri Cro-Magnon, Paleo, revue d’archéologie préhistorique, n° 24, décembre 2013, 121-138, ill.
- Kozlovsky J.-K., 1992 : L’art de la Préhistoire en Europe orientale, CNRS, Paris, 223 p., ill.
Julien M., 1982 : Les harpons magdaléniens. XVIIe supplément à Gallia Préhistoire, Paris, CNRS, 288 p., 121 fig., 2 tableaux, 8 pl.
- Lartet É. & Christy H., 1865-1875 (en partie posthume, édité en 10 livraisons de I à XVII, avec un tome 1 et un tome 2). Reliquiae Aquitanicae. Being contribution to the Archaeology and Paleontology of Perigord and the adjoining provinces of Southern France, Baillière, London et Paris.
- Lartet L., 1868 a. « Une sépulture des troglodytes du Périgord (crânes des Eyzies) », Bull. de la Soc. d’Anthropologie de Paris, 2es., t. 3, p. 335-349.
- Lartet L., 1868 b. « A burial place of the Cave-dwellers of Perigord (Cro-Magnon) », Reliquiae Aquitanicae…, VI, p. 62-72.
- Lartet L., 1869 a. « Une sépulture des anciens troglodytes du Périgord à Cro-Magnon », Matériaux pour l’histoire naturelle et primitive de l’Homme., p. 97-108 et pl. IV,
- Lartet L., 1869 b. « Une sépulture des anciens troglodytes du Périgord à Cro-Magnon », Annales des sciences naturelles, 5e série, t. X, p. 132-145.
- Le Quellec J.-L., 2014 : « Que nous disent les hommes à tête de chien du Sahara ? », La Recherche, mars 2014, n° 485, p. 48-51.
- Leroi-Gourhan A., 1995 : Préhistoire de l’art occidental, nouvelle édition revue et augmentée par B. et G. Delluc, Citadelles et Mazenod, Paris
- Leroi-Gourhan A., 1992 : L’art pariétal. Langage de la Préhistoire, Jérôme Millon.
- Pales L. 1930. Paléopathologie et pathologie comparative, Masson, Paris. Sa thèse est intitulée. Pales, Léon. État actuel de la paléopathologie. Contribution à l’étude de la pathologie comparative. Thèse de médecine de Bordeaux n°76, 1929 - 1930.
- Pittard E., 1960. « Une gravure de Cro-Magnon exilée à Neufchâtel (Suisse) », Bull. de la Soc. hist. et arch. du Périgord, LXXXVII, p. 213-216.
- Pittard E., 1963. « Une gravure de Cro-Magnon exilée à Neufchâtel (Suisse) », Soc. d’études et de rech. et Institut de Préhistoire des Eyzies, n° 12 (1962), p. 36-39.
- Quatrefages A. et Hamy E., 1874. « La race de Cro-Magnon dans l’espace et dans le temps », Bull. de la Soc. d’Anthropologie de Paris, 2es., t. 9, p. 260-266.
- Roussot A., 2003 : Aryen ou Lapon ? L’Homme primitif vu par Louis Figuier en 1870, in : Lafont-Couturier H. et al., Vénus et Caïn, figures de la Préhistoire 1830-1930, musée d’Aquitaine, Bordeaux, p. 76-82, ill.
- Roussot A., 2004. « La représentation humaine de Cro-Magnon au musée du Périgord », Bull.de la Soc. hist.et arch. du Périgord, CXXXI, p. 455-468.
- Taborin Y, 1993. La parure en coquillage au Paléolithique, XXIXe suppl. à Gallia Préhistoire, CNRS éditions, Paris.
- Vallois B., 2005. « Les nouvelles classifications de l’histiocytose », le Quotidien du médecin, n° 7868, p. 8.
- Vallois H. V., 1970. « La découverte des Hommes de Cro-Magnon. Son importance anthropologique », in : l’Homme de Cro-Magnon. Anthropologie et archéologie, Arts et métiers graphiques, Paris, p. 11-20.
- Vialou D. 2004. « Cro-Magnon », in : La Préhistoire. Histoire et dictionnaire, 2004, p. 502.
Notes et renvois
1 Un simple clic sur la toile (Google) fournit les résultats suivants : Néandertal, 265 000 résultats ; Lascaux, 787 000 ; Cro-Magnon, 1 570 000.
2 Ou encore Magnou ou Magnanou. À moins que Magnon ne qualifie les dimensions du Cro : le Grand Trou. La grotte de Rouffignac s’appelait autrefois le Cro de Granville.
3 Delluc, 1984 et 2008.
4 Reliquiae Aquitanicae, being contribution to the Archaeology and Paleontology of Perigord and the adjoining provinces of Southern France. Ce gros et beau livre, rapportant les travaux d’É. Lartet et H. Christy dans la région, fut publié - en anglais - de 1865 à 1875, en 10 livraisons et un groupe d’éditeurs, sous des signatures diverses.
5 Delluc, 1989.
6 Delluc, 2001.
7 Aujourd’hui nommée rue de Tayac ou route de la Gare.
8 Girod et Massénat, 1900, p.10.
9 Lartet, 1869 b, p. 137 et fig. 3, p. 136. Précision : le mot chaussée désignait ici la plateforme du chemin de fer et non la route.
10 Dans le fonds Lartet du Muséum d’Histoire naturelle de Toulouse, nous avons retrouvé une courte note manuscrite, ancienne et anonyme, disant : « Une station humaine d’une longue durée avait exhaussé le sol jusqu’à la voûte. Par-dessus on avait mis sept (sic) squelettes humains. Lartet, arrivé trop tard, ne put sauver qu’une partie de ces précieux vestiges. » D’après les ouvriers, on aurait même mis au jour, lors des travaux, une bonne quinzaine de squelettes (Bouchud, 1966). Dommage…
11 Reliquiae aquitanicae, C. pl. I-VI, IX et X ; B. pl. XI et XII. Le diagraphe permettait de projeter une image sur un écran par le principe de la chambre claire, perfectionnée par l'ingénieur et polytechnicien Jacques Dominique Gavard (1794-1871). Frédéric Sauvage (1786-1857) est aussi, notamment, l’inventeur de l’hélice. Cette invention n’intéressa pas le ministère de la Marine à l’époque des roues à aubes...
12 Vallois B., 2005, Delluc, 2013.
13 Lartet, 1868 a et b.
14 Broca, 1868, 1869, 1872 ; Pales, 1930, p. 69-70 ; Vallois, 1970, p. 14.
15 Ses premières aventures ont été publiées dans le Strand Magazine en 1891 et 1892 par Conan Doyle.
16 Ou plutôt de piochon, l’abri étant très bas.
17 Dastugue, 1967 et 1968.
18 Lartet, 1868b, pl. XIX et XX et p. 83-88. La grotte d’Aurignac (Haute-Garonne) avait été fouillée en 1860 par É. Lartet, mais le mot d’Aurignacien ne sera choisi qu’en 1906, par H. Breuil et É. Cartailhac, pour désigner la première grande culture du Paléolithique supérieur.
19 En 1869, É. Cartailhac est devenu le directeur de cette revue fondée par G. de Mortillet.
20 Lartet, 1869a, planche IV.
21 Julien, 1982, Il s’agit des harpons bilatéraux nos 574 (type Bdc) et 615 (type Ba).
22 Pittard, 1960 et 1963.
23 Pittard, 1960, p. 214. Il n’en existe pas de photographies. À notre connaissance, le Dr Rivière n’avait jamais parlé de ces objets dans ces publications.
24 Breuil, 1960.
25 Ce praticien, membre de la Société d’étude et de recherches préhistoriques des Eyzies, nous confirma le fait lors d’un colloque organisé en Espagne (à Llanes, Asturies, en 1974), en présence notamment de Jean Guichard, conservateur du musée des Eyzies, et d’Arlette Leroi-Gourhan.
26 Bouchud, 1966. Cette couche est nommée par lui Périgordien supérieur ou Périgordien IV à la façon de D. Peyrony.
27 Delluc, 2001, p. 217, note 11 et 2008, p.40.
28 Pataud est situé à une centaine de mètres de Cro-Magnon.
29 Spectrométrie de masse par accélérateur.
30Littorine de la collection Lartet (MAN, Saint-Germain-en-Laye). Beta Analytic INC RadiocarbonDating Service, Miami, USA, juillet 2001. Henry-Gambier et al., 2002et 2013. Les coquillages associés à la sépulture étaient 300 littorines (Littorina littorea), alias bigorneaux, d’origine atlantique et non fossiles, toutes percées, et aussi 5 Nucella lapillus, 4 Turritella communis (fossiles), etc (Lartet, 1869a et b ; Taborin, 1993, p. 427). Les littorines ont été dispersées dans divers musées de France à la demande du ministre Victor Duruy.
31 Soit 31 324-32 666 cal. BP. Ces dates « calibrées » tiennent compte de diverses causes d’erreur, le taux de production du radiocarbone naturel ayant varié au cours du temps.
32 Vialou, 2004.
33 M. Lorblanchet, in verbis, juillet 2013.
34 Henry-Gambier et al., Paleo, 2013.
35 Henry-Gambier et al., 2013, p. 128-134.
36 Delluc, 2013, p. 270.
37 Le procédé était alors très utilisé pour éditer des séries d’images publicitaires, que l’on collectionnait dans de beaux albums.
38 Delluc, 1995.
39 Delluc, 1995.
40 Roussot, 2004.
41 Leroi-Gourhan, 1965. Comment ne pas penser aux théranthropes ? Ces représentations d’anthropomorphes à tête de canidé, relevant de la mythologie, étaient fréquentes il y a 7 000 ans, chez les peuples pasteurs du Sahara (Le Quellec J.-L., 2014).
42 Pittard, 1960 et 1963.
43 Car, selon M. Boule et R. Verneau, les jambes semblaient très longues par rapport aux cuisses et les avant-bras très longs par rapport aux bras, et car les membres inférieurs semblaient très longs par rapport aux membres supérieurs.
44 Le prognathisme alvéolaire de cet adolescent, découvert en 1901 par le chanoine de Villeneuve, a sans doute été accentué par les manipulations que lui firent subir les paléontologues M. Boule et R. Verneau (Leroi-Gourhan, 1992).
45 Quatrefages A. et Hamy E., 1874. Aujourd’hui on dit Bad Cannstatt, près de Stuttgart (Bade-Wurtemberg). On y avait trouvé en 1700 un crâne incomplet (front étroit et fuyant, arcades sourcilières très saillantes), dont la nature préhistorique fut reconnue vers 1835.
46 L. Testut était un Périgordin, né à Saint-Avit-Sénieur. Paul Broca était de Sainte-Foy-la-Grande, un voisin...
47 Le volatile du monument aux morts de Sireuil est en fait une brave grosse poule, sculptée dans la pierre calcaire par un artiste local.
48 Acquise par le Louvre, elle fut donnée en 1941 à l’Espagne du général Franco par le gouvernement de Vichy en échange de diverses oeuvres, notamment de Murillo, Velasquez et Le Greco.
49 Delluc, 1981.
50 Et aussi, dans le musée de site de l’abri Pataud, une belle statue de bronze : la reconstitution fidèle en bronze de Mme Pataud, la toute jeune femme découverte, inhumée avec son nouveau-né, dans ce gisement. Elle a été sculptée et fondue dans le bronze par l’artiste danois Eirik Grandqvist à la demande du Pr Henry de Lumley.
51 Delluc, 1990. Très marqué par la Grande Guerre et par la maladie, Paul Dardé (1888-1963) était spécialisé dans la représentation de personnages tragiques. Le musée d’Orsay a de lui une tête féminine aux serpents, l’Éternelle douleur…
52 On peut consulter les catalogues d’exposition, dont Peintres d’un monde disparu. La Préhistoire vue par les artistes de la fin du XIXe siècle à nos jours, musée de Solutré,1990 et Vénus et Caïn, figures de la Préhistoire 1830-1930, musée d’Aquitaine, Bordeaux, 2003. Dans ce dernier, A. Roussot commente les dessins de Louis Figuier (L’Homme primitif, 1870), représentant des Hommes modernes, vêtus d’un pagne effrangé dans une première édition, puis d’épaisses fourrures avec capuche dans une seconde édition (Roussot, 2003).
53 Kozlovsky, 1992.
54 Docteur en Préhistoire, conseiller scientifique et assistante du maître d’ouvrage de l’abri Cro-Magnon.
55 Docteur en Préhistoire et en Anthropologie, médecin chef des hôpitaux (H), conseiller scientifique de l’abri Cro-Magnon.
56 La bibliographie de Cro-Magnon est considérable. N’ont été conservées ici que les références appelées dans le texte.